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rythmes scolaires
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Contributions au débat, Interventions du SNEP-FSU, Outils pour agir, Incidences sur les installations…

Contributions au débat

Analyse du SNPI-FSU (inspecteurs) sur la réforme des rythmes
18/5/15

Le SNPI a clairement exprimé lors des échanges avec le cabinet ou la DGESCO, préalablement à la réforme des rythmes, qu’il était favorable à ce que l’aménagement hebdomadaire et annuel du temps scolaire soit repensé dans une perspective essentiellement gui dée par l’intérêt des élèves et la réussite de leurs apprentissages. Mais nous avons toujours insisté sur le fait que le seul fait de réformer ne pouvait être une finalité en soi et qu’il restait nécessaire de s’assurer que les nouvelles organisations mise s en œuvre permett raient réellement de concourir aux objectifs poursuivis. Enfin nous avions mis l’accent sur la nécessité de réformer en même temps le temps scolaire hebdomadaire et le temps scolaire annuel (…)
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Rythmes : des propositions alternatives sont possibles !
par Sylvain Berna
25/2/14

Sylvain Berna est professeur d’EPS. En tant que parent d’élève à Vandelaine (54), il fait des propositions novatrices pour une meilleure réforme des rythmes (…)
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EPS à l’école primaire : former des enseignant-es ressources
par Michel Nouaille
13/2/14

Les élèves du primaire n’ont pas en quantité et qualité l’enseignement de l’EPS répondant à leurs besoins. Comment trouver des solutions avec les principales ressources de l’école, à avoir les enseignantes et les enseignants eux-mêmes ? (…)
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Réforme des rythmes : halte à la confusion !
par Claire Pontais
4/2/14

La réforme des rythmes ne s’attaque pas aux problèmes de l’école, ni à l’échec scolaire, mais risque fort de modifier en profondeur les missions de l’Ecole, en déscolarisant un certain nombre de disciplines (…)
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Débat ouvert sur les arguments visant à fonder les opérations « rythmes scolaires » – Le cas de l’EPS et du sport
par Jean Lafontan
Nouvelle version – 24/1/14

Jean Lafontan examine les arguments utilisés pour justifier toutes les réformes des rythmes (complémentarité, continuité, cohérence…) proposées depuis 50 ans. Il montre le développement spécifique des différents acteurs : l’école, le péri-scolaire et les clubs sportifs permettraient d’envisager une véritable alternative. » (…)
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EPS et sport : quelle est la spécificité de l’école ?
par Claire Pontais
Décembre 2013

Certains pensent que l’EPS est menacée comme discipline scolaire parce qu’elle fait référence au sport dans ses contenus et que, de surcroit, beaucoup de municipalités apportent une aide extérieure sur une partie des horaires obligatoire. Or, l’école, c’est l’obligation d’apprendre ensemble des savoirs imposés. Et cela change tout ! (…)
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Spécificité de l’EPS, le cas de la natation
par Claire Pontais
Novembre 2013

Claire Pontais répond à la question de la spécificité de l’EPS, au travers du cas de la natation, en s’attachant à deux aspects imbriqués : quelle est l’activité d’un élève qui apprend à nager à l’école et quel est le rôle de l’enseignant-e lors des séances de natation ? (…)
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Témoignages

Appel à anticipation sur la réforme des rythmes scolaires, et ses incidences sur l’EPS du secondaire – L’expérience de Périgueux (rentrée 2013)
7/3/14

La réforme des rythmes scolaires pour les écoles primaires a été mise en place sur Périgueux dès la rentrée 2013, entrainant dans son sillage de nombreuses conséquences sur l’EPS dans le secondaire. Tout d’abord, tous les collèges et les lycées ont été avertis en Juin par la municipalité que de nombreux créneaux d’installations sportives municipales leur étaient supprimés afin de les rendre au primaire (…)
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Angers – Janvier 2014
11/2/14

Témoignages d’enseignants d’EPS et d’un ETAP à Angers sur les dégradations et les dysfonctionnements liés à la réforme des rythmes : impossibilité de respecter les programmes EPS dans la variété des activités programmables et la durée des cycles d’apprentissage, concentration de l’EPS sur les créneaux du matin pour l’école primaire comme pour les collèges et lycées, activités sportives périscolaires consuméristes.
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Orléans – Décembre 2013
11/2/14

Après 3 ans de pertes successives d’installations sportives, la réforme des rythmes vient aggraver la situation en supprimant l’accès aux équipements trois après-midi par semaine de 13h30 à 15h30. Le projet pédagogique et l’organisation de l’EPS sont totalement à revoir et ne répondent plus à des conditions favorables d’apprentissage pour les élèves.
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Caen – Novembre 2013
11/2/14

Une classe de seconde de LP se retrouve mise à la porte de la structure d’escalade par un atelier sportif péri-éducatif, cela alors même que le cycle d’apprentissage avait démarré depuis deux semaines !
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Paris – Octobre 2013
11/2/14

Le SNEP FSU Paris témoigne des dégradations pour l’EPS : suppressions d’installations sportives les lundis et vendredis de 14h30 à 16h. Conséquences : retard considérable pour construire les emplois du temps de la rentrée, cohabitations imposées sur les mêmes créneaux de gymnase primaire-second degré, impossibilité de respecter les programmes EPS.
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Des outils pour agir

Réforme des rythmes et accès aux installations sportives « CARTON ROUGE » !
10/6/14

La généralisation de la réforme des rythmes scolaires à la rentrée 2014, mise en place à marche forcée, met en évidence le manque criant d’installations sportives sur le territoire. Les « dommages collatéraux » pour l’EPS et le sport scolaire n’ont pas été mesurés et encore moins anticipés. Quelle contradiction alors que l’objectif affiché de cette réforme est de « permettre aux enfants de mieux apprendre »…  sauf en EPS en tous cas !!! 

La généralisation de la réforme des rythmes scolaires à la rentrée 2014, mise en place à marche forcée, met en évidence le manque criant d’installations sportives sur le territoire.

EPS (1er et 2nd degré), AS des collèges et lycées, options EPS, sections sportives scolaires risquent fort de se trouver en concurrence avec les TAP (temps d’activités péri-scolaires) et, par effet «ricochet », avec les associations extra-scolaires (clubs sportifs, 3è age, etc..), tout cela sur le temps scolaire.
Malgré tous les appels lancés par le SNEP FSU au cabinet du ministre*, à la présidente du comité de suivi de la réforme – qui n’a d’ailleurs pas daigné nous répondre une seule fois – l’EPS discipline obligatoire, assujettie à des programmes nationaux et évaluée aux examens, et les AS d’établissements vont être mises à mal dans la très grande majorité des EPLE qui ne bénéficient pas d’installations intra-muros. Le SNEP FSU ne laissera pas faire et condamnera publiquement, toutes les situations de dégradation des conditions d’enseignement de l’EPS et d’animation du sport scolaire.

Aucune classe ou association sportive du second degré ne doit se voir privée de la moindre heure d’accès aux installations sportives « indispensables », comme l’écrit pourtant le MEN dans son propre guide équipements ! Le SNEP-FSU appelle les équipes EPS, avec le soutien de ses sections locales, à intervenir auprès des collectivités de rattachement (CG/CR) et des autorités académiques pour leur rappeler qu’elles doivent s’en assurer en utilisant le « KIT CARTON » disponible sur le site.
Télécharger le Kit Carton…

Guide pour animer une réunion sur le thème des rythmes :
 » Les enseignants d’EPS face à la mise en place de la réforme des rythmes scolaires dans le premier degré « 

4/2/14

En quoi sommes-nous concernés par la mise en place de la réforme des rythmes scolaires pour les élèves du premier degré ?
Alors que les enseignants d’EPS exercent dans les établissements du second degré, ils se retrouvent au cœur d’enjeux, de débats et de décisions qui peuvent peser lourdement tant sur les conditions d’exercice de leur métier que sur le contenu même de celui-ci et sur les missions pour lesquelles l’Etat les a recrutés. Compte tenu de ce qu’est le SNEP-FSU – un syndicat qui se préoccupe indissociablement des questions corporatives (relatives aux personnels), pédagogiques (relatives aux contenus de l’EPS et au sport scolaire) et des conditions de travail, au premier chef desquelles nos « salles de classe » que sont les installations sportives de toute nature nécessaires à l’exercice de notre métier – et de sa représentativité (84,5% des voix aux dernières élections professionnelles), il est important d’inviter les collègues à se rencontrer (…)
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Modèle de lettre SNEP à adresser au Recteur
4/2/14

Le SNEP-FSU, représentatif à 84.5% des enseignants d’Education Physique et Sportive, tient à vous alerter sur l’une des retombées de la réforme des rythmes scolaires qui pénalise particulièrement l’enseignement obligatoire de l’EPS et les conditions d’animation du sport scolaire.
En effet, alors que les équipements sportifs dont disposent les collèges, lycées et écoles sont en nombre très insuffisant pour appliquer les programmes et horaires officiels de l’EPS et faire face aux entraînements et compétitions du sport scolaire, une aggravation de la situation est intervenue à cette rentrée 2013, en lien direct avec la mise en place de la réforme des rythmes scolaires (…)
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Circulaire du 20 mars 2013 (BO n°12 du 21 mars 2013)
4/2/14

La présente circulaire a pour objet de préciser les objectifs et les modalités d’élaboration d’un projet éducatif territorial, et de faciliter la coopération entre les collectivités territoriales engagées dans cette démarche de projet et les services de l’État chargés de l’accompagner jusqu’à sa contractualisation. (…)
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Les interventions du SNEP-FSU auprès des décideurs

Courrier 26 juin 2014 à R.Guerry , conseiller de B.Hamon
10/7/14

Le 07 février 2014, le SNEP-FSU a rencontré Monsieur Mancel, conseiller du Ministre Peillon, sur la question spécifique des installations sportives indispensables à l’enseignement de l’EPS et au sport scolaire(…) Une nouvelle ombre s’ajoute au tableau noir des difficultés récurrentes rencontrées avec la généralisation de la réforme des rythmes scolaires à la rentrée 2014-2015. Nos inquiétudes sont grandes de voir se démultiplier la réquisition, déjà amorcée dans cette année d’expérimentation, d’installations sportives municipales jusqu’alors attribuées à l’EPS obligatoire et au sport scolaire, au bénéfice d’activités périscolaires (…)
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Audition au Sénat
25/2/14

Le SNEP-FSU a été auditionné par la commission de suivi des rythmes du sénat (12 février 2014). la question des installations et celle de la situation de l’EPS à l’école primaire ont été abordées (…)
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Comité technique ministériel du 12/02/2014 – déclaration SNEP FSU
13/2/14

Le SNEP FSU dénonce les dégradations occasionnées par la réforme des rythmes sur l’accès aux équipements sportifs pour l’EPS et le sport scolaire du second degré (…)
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Communiqué de presse : Pour une EPS développée dans plus et mieux d’école
3/2/14

Le SNEP-FSU a réuni le 23 janvier 2014 plusieurs organisations et acteurs impliqués dans la nouvelle organisation des temps scolaires et péri scolaires du premier degré.
L’enjeu de cette initiative était de partir de la question spécifique de l’éducation physique et sportive (EPS), du sport scolaire et des pratiques sportives péri et extra scolaires, pour interroger cette réforme, qui annonce viser à la fois la réussite scolaire des élèves et la démocratisation de l’accès aux pratiques sportives.
Le SNEP-FSU estime que la précipitation dans laquelle cette réforme s’est menée a empêché une réflexion approfondie sur les fondements, les objectifs, la notion même de complémentarité ou de continuité éducative, l’encadrement, les partenariats…

Plusieurs constats sont inquiétants :

  • Les activités sportives prennent une large part dans les activités périscolaires proposées. Le risque d’une « déscolarisation » de l’EPS avec en corollaire celui d’une « scolarisation » du périscolaire, qui perdrait sa spécificité.
  • Les installations sportives utilisées servent à la fois à l’EPS des premier et second degrés, au sport scolaire, au sport péri et extra scolaire. Le temps dévolu aux activités périscolaires liées à la réforme génère des concurrences dont l’obligation scolaire pâtit.
  • Les inégalités territoriales, avec un coût important pour les collectivités et, bien souvent, la faible qualification des animateurs.

Le SNEP-FSU considère qu’il faut interroger les fondements de la réforme

Pour s’attaquer réellement à l’échec scolaire, il faut prioritairement prendre à bras le corps les questions de contenus et d’apprentissage. C’est d’abord une réflexion sur les programmes, les pratiques pédagogiques et la formation initiale et continue des enseignant-e-s, une affaire de « plus et mieux d’école ». Ne laissons pas penser que des personnes moins qualifiées réussiront là où les enseignants sont en difficulté, que ce qui va être facultatif peut remplacer l’obligatoire, que les moments qui doivent être consacrés à « l’étude » peuvent être remplacés par de la découverte culturelle (aussi importante que soit cette ouverture culturelle pour les élèves), cette réforme ne contribue pas à la lutte contre l’échec scolaire.

Pour s’attaquer réellement à l’échec scolaire, il faut prioritairement prendre à bras le corps les questions de contenus et d’apprentissage.

En ce qui concerne l’EPS et les pratiques sportives, il y a trois lieux bien distincts qui ont chacun leurs objectifs, leurs temps de pratiques et leurs contenus spécifiques : l’école, le périscolaire et les clubs. Plutôt que de chercher à organiser une complémentarité, une cohérence, une continuité entre eux, il faudrait s’attacher à ce que chacun soit le plus efficient possible dans le rôle qu’il doit jouer.

Il est nécessaire de rappeler que depuis les années 70, la quasi-totalité des gouvernements ont cherché à modifier les contenus et les missions de l’École au nom des « rythmes » : de la Loi Mazeaud en 1975 à l’opération Chatel Cours le matin, sport l’après-midi, en passant par l’aménagement du temps de l’enfant de Calmat-Chevènement en 1985 ou les contrats bleus de Bergelin, etc .Tous ces dispositifs ont abouti au même résultat : ils ont installé puis conforté des partenariats ambigus, tout en contribuant à la diminution de l’horaire d’EPS de l’école primaire qui est passé de 5h officielles à 3h (et 2h réelles aujourd’hui).

La « réforme des rythmes » de 2013 entérine la diminution du temps scolaire alors qu’il aurait fallu travailler à « plus et mieux d’école ». Elle génère, avec les PEDT, de la confusion. Le risque est aujourd’hui très grand de transformer en profondeur -et rapidement- les missions historiques de l’École, pilotée par l’État, et de l’amputer d’une partie des enseignements qui jusqu’à présent font partie de ses missions (EPS, arts, techno…).

Le SNEP-FSU propose des outils d’analyse (Dossier Rythmes 2014 ), et appelle à débattre de solutions alternatives qui s’attaquent réellement à la lutte contre l’échec scolaire et à l’émergence, au développement d’une politique éducative locale la plus riche possible, avec bien entendu une égalité sur le territoire.

Lettre à Mme Moulin-Civil, Rectrice de Lyon, Présidente du comité national de suivi de la réforme des rythmes scolaires  
9/7/13

Le SNEP FSU alerte le comité national de suivi de l’impact de la réforme des rythmes sur l’accès aux installations sportives et les risques qui pèsent sur l’enseignement de l’EPS et le sport scolaire. Il rappelle le caractère prioritaire de l’enseignement obligatoire sur tout autre dispositif non obligatoire.
A noter : ce courrier n’a reçu aucune réponse.
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Communiqué de presse : La mise en place de la réforme des rythmes risque de priver l’enseignement obligatoire de l’EPS et le sport scolaire des installations sportives nécessaires
20/6/13

Alors que le manque d’équipements sportifs à disposition des scolaires (reconnu par les pouvoirs publics) entrave fortement la qualité de l’éducation physique et sportive (EPS) obligatoire et du sport scolaire du second degré, la réforme des rythmes scolaires pourrait entraîner une nouvelle dégradation de la situation. En effet, les communes qui organisent dès septembre 2013 la mise en place des activités péri scolaires, dont les activités physiques et sportives, annoncent déjà la redistribution de créneaux d’installations sportives jusqu’alors attribués au second degré.

Il en va ainsi de la suppression prévue à certains endroits de l’accès aux installations sportives, pour les collèges et lycées, à partir de 15h, le mercredi matin ou encore sur la plage méridienne. Pour certains établissements cela pourrait correspondre jusqu’à l’équivalent d’une journée par semaine sans accès aux équipements sportifs, espaces dédiés à l’enseignement de l’EPS obligatoire. Imagine-t-on priver de la même manière l’enseignement de la technologie ou des sciences de leurs salles spécialisées d’informatique, de SVT, de physique,… ou les enseignements professionnels de leurs ateliers ?

Alors que le manque d’équipements sportifs à disposition des scolaires (reconnu par les pouvoirs publics) entrave fortement la qualité de l’éducation physique et sportive (EPS) obligatoire et du sport scolaire du second degré, la réforme des rythmes scolaires pourrait entraîner une nouvelle dégradation de la situation.

Pour l’école primaire, il faudra assurer les heures d’EPS pour tous les élèves dans un temps plus contraint, en utilisant notamment les équipements plus souvent le matin.

Le SNEP FSU mène depuis longtemps une bataille sur la question des équipements sportifs qui sont les « salles de classes » de l’EPS et les lieux d’entrainement et de compétitions sportives pour le million de jeunes licenciés à l’UNSS (Union Nationale du Sport Scolaire). Alors que le Ministère de l’Education Nationale vient de publier (avril 2012) un guide des « équipements indispensables aux pratiques sportives scolaires », réduire l’accès aux installations sportives, déjà insuffisant, serait totalement contradictoire et porterait une atteinte grave à la mise en œuvre des programmes, à la préparation des examens (une épreuve d’EPS est obligatoire à tous les examens sur l’ensemble de la scolarité) et au développement du sport scolaire.

Cette situation d’exclusion des élèves du second degré pose à nouveau le problème de la responsabilité de l’Etat en matière de développement des équipements pour le service public de l’EPS et du sport. Elle interpelle également sur la pertinence d’une réforme des rythmes scolaires élaborée dans la précipitation.
Pour le SNEP FSU, il est inadmissible que cette réforme, qui porte l’ambition d’améliorer les conditions d’études des élèves des écoles, se mette en place au détriment de l’enseignement obligatoire de l’EPS et du sport scolaire des collégiens et lycéens.

Aucun cours d’EPS et aucun créneau dédié au sport scolaire ne doivent être supprimés !

Lettre à M.Delahaye, Directeur général de la DGESCO (direction générale de l’enseignement scolaire)
17/6/13

Le SNEP FSU alerte la DGESCO sur les suppressions annoncées à la rentrée 2013 de créneaux d’installations sportives pour l’enseignement de l’EPS et le sport scolaire. Il demande son intervention pour que l’obligation scolaire soit prioritaire sur tout autre dispositif non obligatoire.
A noter : La DGESCO nous a reçus le 12 juillet.
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Les incidences sur les installations sportives

« L’âge de pierre » annoncé pour l’EPS à la rentrée 2014
10/7/14

Ce n’est pas faute d’avoir alerté le ministère, le comité de suivi de la réforme depuis le printemps 2013 sur les nombreuses suppressions d’accès aux installations sportives pour les classes et le sport scolaire du second degré suite à la mise en place de la réforme des rythmes. Ce n’est pas faute d’être intervenu régulièrement auprès des Dasen, dans les CDEN tout au long de cette année scolaire (…) L’expérimentation de l’an dernier avait déjà mis à mal de nombreux collèges et lycées dans beaucoup de villes concernées (…) exemples recensés au 8 juillet 2014 (…)
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Exemple Bordeaux – Février 2014
10/2/14

La mairie de Bordeaux a opté pour la tranche 14h-16h30 pour les activités péri-scolaires à la rentrée 2014 les lundi mardi jeudi et vendredi… alors que le Dasen n’a pas encore validé le projet. Le SNEP FSU dénonce la suppression des installations sportives qui sont les « salles de classe » pour l’EPS.
Article paru dans Sud-Ouest le 06/02/2014.
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Exemples – Décembre 2013
10/2/14

Des situations toujours aussi inquiétantes pour la rentrée 2014 dans plusieurs académies. Disparition de la natation ici, ailleurs aucun gymnase disponible tous les après-midi, ou encore suppression de créneaux pour le sport scolaire le mercredi etc…
A noter : ces informations ont été données au directeur de cabinet du ministre le 31 janvier 2014.
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Exemples Paris – Juillet 2013
10/2/14

10 à 13.000 heures sur les installations sportives supprimées pour l’EPS des premier et second degré. Les réunions de répartition des équipements se succèdent n’apportant que des solutions de « bricolage » avec parfois la cohabitation imposée cours d’EPS et ateliers péri-scolaires. Des conditions nettement dégradées dans un contexte déjà insuffisant d’installations sportives.
A noter : ces informations ont été données au directeur de cabinet du ministre le 31 janvier 2014.
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Exemples – Juillet 2013
10/2/14

Informations des difficultés annoncées pour 7 académies. L’EPS du second degré se retrouve avec très peu d’accès aux installations sportives sur le créneau 15-16h30 dans la majorité des cas.
A noter : ces informations ont été données à la DGESCO le 12 juillet 2013 et au directeur de cabinet du ministre le 31 janvier 2014.
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