Mercredi 26 mai 18h30/20h
66% des adolescent.es entre 11 et 17 ans ont un niveau de sédentarité élevé (+ de 2h d’écran/jour) et une activité physique faible (moins de 60 mn). C’est donc une population très exposée aux risques sur la santé, révélait Irène MARGARITIS, de l’Agence Nationale de Sécurité Sanitaire (ANSES). Ces chiffres sont alarmants. Le SNEP-FSU a mené une campagne pour alerter les pouvoirs publics et les élus, à la fois sur les risques que courait la jeunesse et sur les inégalités qui se creusaient dans l’accès aux pratiques sportives. L’Ecole, par le caractère obligatoire de la scolarisation de l’ensemble de la jeunesse, peut lui apporter une contribution dans le temps présent. Elle la dote également d’apprentissages qui lui permettront de continuer à construire son itinéraire de vie sportive.
Quelle est la réalité de la situation un an après le début de la COVID ? Quelles propositions pouvons-nous faire pour une Ecole qui bouge et qui permet aussi d’apprendre ? Quelle EPS ? Quel sport scolaire ?
Avec nous pour en parler :
Jean-François Carré, Cardiologue
Guillaume Aullard, professeur d’EPS (Académie de Grenoble)
Claire Pontais, du Centre EPS et Société (« Bouger et apprendre à l’école : des propositions pour l’école primaire »)
Mélanie Peltier, Élue des AS
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