Pour une autre politique de l’éducation prioritaire
Les annonces et expérimentations récentes menées par le ministère de l’éducation prennent une direction bien identifiée pour l’éducation prioritaire. Les maîtres mots sont : localisme et contractualisation. Or, derrière se cachent des projets politiques qui ne sont pas vraiment annoncés et qui concernent potentiellement l’École dans son ensemble.
Le bon format, c’est 4h !
La circulaire de rentrée consacre à la pratique sportive une place explicite. Mais face à des attentes fortes, face aux besoins criants, nous assistons à un retour en arrière « incompréhensible »
2 heures de sport en plus : oui, mais pas comme ça !
Nous appelons les équipes à refuser l’instrumentalisation de leur travail et à dénoncer (CA, presse…) cette opération honteuse
Sur le terrain « péda », le combat continue !
Depuis plusieurs années, nous avons fait le constat, analyse détaillée à l’appui, que notre discipline était attaquée frontalement, dans ses fondamentaux, par le pouvoir en place, avec ses relais au sein même de l’institution. La dernière étape de cette attaque correspond à ce que nous avons nommé la « dédisciplinarisation » de l’EPS.
Quels rapports entre les finalités et l’EPS
Le SNEP-FSU a été invité par l’École normale supérieure de Rennes, dans le cadre des Assises pour l’EPS de demain, pour participer à une table ronde sur la question des finalités en EPS. Retrouvez les idées-clés dans le présent article.
4h d’EPS en 6ème, à quoi ça sert ?
Le SNEP-FSU porte la revendication des 4h d’EPS sur toute la scolarité. Or, cet horaire est en vigueur en classe de 6 ème depuis la rentrée 1995. Nous évoquons ici quelques éléments, non exhaustifs, que cette mesure a permis, directement ou indirectement. Il est dans notre ligne syndicale de justifier scolairement, socialement et donc politiquement nos exigences et propositions.
Sauver le collège, c’est sauver l’école publique
L’histoire des réformes scolaires montre que les différents échelons ou niveaux de scolarité ne sont jamais réformés ensemble. La réforme du lycée, inégalitaire, contreproductive et antisociale étant (presque) derrière nous, on peut, de nouveau, s’attaquer à celle du collège.
Les APSA oui, mais pourquoi et comment ?
Une EPS fondée et organisée par l’étude des APSA doit aussi permettre aux élèves de s’approprier les valeurs de la République. Un regard sur les fondements de l’EPS.
Le développement de l’EPS est indispensable
Le SNEP-FSU sort de son congrès national avec une série d’orientations se situant résolument sur le versant offensif pour la qualité de l’EPS. La mesure phare revendiquée est l’augmentation de l’horaire d’enseignement pour garantir 4 h d’EPS hebdomadaires sur toute la scolarité.
Vous avez dit rôles sociaux ?
La dimension dite éducative, de l’EPS, est souvent convoquée pour expliquer, voire justifier la place de l’EPS à l’Ecole. Pour une part, les défenseurs de cette vision de l’EPS, considèrent que la culture sportive et artistique, si elle est nécessaire, n’est pas première lorsqu’il s’agit de penser l’EPS comme une discipline scolaire. A titre d’exemple, nous illustrerons notre propos à partir de certains aspects de la culture sportive. Il est évident que le traitement spécifique aux activités artistiques peut être fait.